Plus que des mots,

Marre de la pollution plastique? Nous avons la solution

Et si on inversait les stats?

Comment ça marche

  • 1 - Choisis le meilleur kit selon les besoins de tes cheveux

    Achète le kit de démarrage ou directement le set pour économiser. Retrouve tous tes soins dans des poches de recharge biodégradables et des flacons rechargeables et réutilisables à l’infini.

  • 2 - Recharge ton flacon réutilisable

    Remplis ton flacon et jette la poche de recharge. Fabriquée à partir de papier et de bioaluminium, elle se décompose facilement en ne laissant derrière elle que de l’eau, du CO2 et une toute petite quantité de biomasse organique — le substrat parfait pour nourrir tes plantes.

  • 3 - Maxi effet, zéro gaspi

    Nettoie ton cuir chevelu en profondeur et hydrate tes cheveux sans passer par tous ces détergents nocifs, irritants ou autres additifs de pacotille. Mise sur nos formules pures et enrichies en superaliments.

  • 4 - Recharge, réutilise & recycle

    Dis adieu au plastique. Pour toujours. À chaque fois que tu recharges et que tu réutilises ton flacon, tu contribues activement à la lutte contre la pollution plastique.

Plus que des mots

  • Débarrasser la nature d’autant de déchets plastiques que nous en produisons

    Nuniq est certifiée neutre en plastique grâce à son
    partenariat avec rePurpose Global. Un pourcentage de chaque vente soutient le
    recyclage et la réutilisation du plastique dans les décharges, les cours d’eau
    et les océans.

    En savoir plus

  • Nous générons un impact social positif

    Pour notre logistique en Suisse, nous nous appuyons sur
    notre partenaire social Wohnwerk à Bâle. Cette institution offre aux personnes
    en situation de handicap la possibilité de vivre et de travailler dans un même
    lieu. Nous sommes très fiers de travailler avec eux et de les aider dans leur
    mission visant à garantir que ces personnes puissent participer à la vie
    sociale et développer leur potentiel en s'expérimentant comme indépendantes et
    autonomes.

C'est parti